Enseigne extérieure
Pour le Comptoir de la Gastronomie, j’ai réalisé une enseigne sur mesure en remplacement de l’ancienne qui leur avait été volée ! Réalisée en panneau composite, l’oie a été peinte recto verso le plus symétriquement possible. Elle a la particularité de vous regarder en vous suivant sur le trottoir…
34 rue Montmartre Paris 1er
La porte fleurie
Cette porte en trompe l'oeil reprend avec exactitude les teintes des boiseries de la maison. L'emplacement était destiné à une ancienne vraie porte condamnée et bien visible des terrasses d'où la nécessité d'un trompe l'oeil. Des géraniums, des tulipes et un petit pinson donne une dynamique de couleur et des contrastes très intéressants.
Chartres.
La clé des champs
Voici un trompe l’œil extérieur sur un thème champêtre qui masque des panneaux de béton décrépis. L’ensemble fut peint sur 4 panneaux composites et imputrescibles de 3mm. Du fait d’avoir des panneaux, l’idée fut d’y amener de vrais éclairages, des vraies appliques bien placées et proportionnelles afin de marier le vrai et le faux dans les perspectives.
Athis Mons dans l’Essonne.
La verrière
Voici une réalisation sur plus de 60 m² qui vient compléter la collection de trompe l’œil que compte la ville de Chartres. Poussé par l’architecte paysagiste Josseline Gaillard, l’idée d’une verrière avec de la végétation m’est apparue presque instantanément.
La rencontre avec les promoteurs de cette nouvelle résidence Bellini, qui étaient tenus par la ville de Châtres de faire réaliser un trompe l’œil dans leur projet immobilier, fut enthousiaste et complaisante pour m’aider à le réaliser. Il fallut l’accord de la ville de Chartres bien sûr mais aussi celui des bâtiments de France à cause de la proximité de la cathédrale.
La verrière et la fenêtre furent réalisées sur toile en atelier puis marouflées sur site. L’idée était de se raccorder avec la maison faite de briques et de colombages pour se fondre de manière naturelle dans l’espace urbain. Des plantations sur tout le bas des murs viendront compléter l'aspect végétal du trompe l'oeil dans quelque temps.
Place Drouaise, Chartres
Saint Alain de la Roche
Voici l’interprétation d’une pièce en bronze représentant le dominicain Saint Alain de le Roche (1428-1475). L’idée a été de le représenter sous forme d’une statue dans sa niche en fausse pierre avec un rosaire posé dans ses mains. Un fond en aluminium imputrescible (alupanel), un enduit au sable à été appliqué afin de se rapprocher au mieux d'un aspect "fresque".
Cette commande bien précise devait être fidèle et respectueuse de l’ordre des dominicains.
Chartres
Le Gramophone
Contacté par l’architecte paysagiste Josseline Gaillard, l’idée a été d’apporter dans son projet de réaménagement urbain, un trompe l’œil partageant l’idée de végétation et l’idée du nom du restaurant « le Gramophone » se trouvant juste derrière.
Les pavillons de nos anciens gramophones ont une réelle connotation florale, comme les fleurs de lys, les fleurs de liseron et bien d’autres. L’idée fut de mettre en scène cette étroite ressemblance pour se souvenir de ces époques ou les appareils de « la voix de son maître » étaient partout.
Passage du chemin de fer, Orsay dans l’Essonne
Store métallique photoluminescent
Il a pour vocation de rester lumineux chaque nuit. Sous le quinquennat de Mr Sarkozy, il avait été question d’éteindre les villes à 22h30 par mesure d’économie. Cette enseigne "test" serait restée visible sans énergie électrique. Les éclairages urbains puissants aux alentours ne révèlent pas cette fonction mais elle est bien présente.
Chilly-Mazarin dans l’Essonne.
Château de Rabestan
Au sein du Château Rabestan, une chapelle a été entièrement démontée pierre par pierre, poutre par poutre, tuile par tuile, rénovée puis remontée dans les règles de l’art, le tout sous le contrôle des bâtiments de France. Sur la fin de ce projet, ma participation s’est contentée de patines, de différents rattrapages et ajustages de teintes faux bois sur l’autel et la porte du confessionnal. Ont été créé les lettrages usés d’Avé Maria sur le flanc de l’autel et le nom de Ste Barbe sur une stèle de statue.
Saint Avit les Guespières dans l’Eure et Loire
Phyléa
Rue quincampoix Paris
21 mètres de long, 2.5 tonnes pour ce bar en béton
Voici un bar intérieur/extérieur de restaurant d’altitude pouvant accueillir entre 800 et 1200 couverts chaque midi en haute saison de ski. Un énorme travail de charpentier fut nécessaire à la constitution du coffrage. Deux toupies de béton ont permis son remplissage. D’après une implantation imposée et prévue sur plan, mon rôle fut de trouver un design et les matières (béton/zinc). Malgré un évasement important sur le haut du bar, la base ne repose que sur 5 cm de large. La pression est énorme sur le bas et son équilibre n’est dû qu’à son implantation sinueuse. Beaucoup d’hommes ont été nécessaires à cette création réalisée dans des conditions météo neigeuse très difficiles. Félicitations à tous.
Le Club House du Mont D’Arbois, Megève en Haute Savoie