Les spécialistes en rosace monumentale ne s’y tromperont pas : c’est du trompe l’œil. Je ne connais aucune rosace à ce jour dont la structure serait en acier riveté mais l’effet parait normal et s’intègre parfaitement aux autres matières dans ce temple protestant. Malgré une conception datant de l’époque Eiffel, cette rosace en pierre sur la façade extérieure, avait été lissée au plâtre à l’intérieur, ce qui donne de larges bandes peintes mal proportionnées autour de ces beaux vitraux. L’imitation de superposition de cornières d’acier riveté meuble ces espaces et les rend plus équilibrés.
58 rue de Lille, Paris 7ème